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    Chapitre 37

    Douce nuit.

     

    Lorsque je me suis réveillée je n’étais plus sur le canapé mais dans ma chambre, sur mon lit. Maximilien avait dû me transporter pendant mon sommeil. J’étais toujours blottie dans ses bras. Il dormait. Il faisait encore nuit. Je regardais mon réveil  il était 5 heures du matin. Comment je vais pouvoir me rendormir ? Je pouvais le voir avec la clarté de la lune. Il était si beau.

    Mon cœur battait fort. Ma main se glissa sous sa chemise. Sa peau lisse et chaude m’électrisait.

    Je sentait qu’il frissonnait, j’ai posé mon regard sur lui, il était réveillé. J’ai déboutonné sa chemise, caressé son torse, caressé sa marque de naissance. Ses yeux me regardaient intensément. A cet instant j’ai vu que lui aussi bouillonnait de désir.

    Nous nous sommes embrassés avec fougue. Nos caresses se déplaçaient maintenant dans des endroits  encore inconnus pour moi. J’entendais nos cœurs battre à l’unisson jusqu’à ce qu’ils ne fassent plus qu’un, enfin.

    Mon corps frissonnait de ce désir nouveau, mes mains agrippaient ses cheveux, mes lèvres les siennes. Nos regards encore brillants de plaisir ce sont accrochés l’un à l’autre.

    D’une voix rauque mais tendre il me dit :

    -          - Tu es mienne à présent ma princesse.

    Mes yeux, mon corps le désiraient encore.

    -          - Je t’aime, réussis-je à lui dire avant de le tirer à moi afin que cette nuit ne finisse jamais.

    Il faisait jour maintenant. Nous nous regardions tendrement allongés sur mon lit, nos doigts enlacés.

    -          - Nous n’aurions pas dû ma princesse.

    -          - Pourquoi ? Tu ne voulais pas de moi sur ce plan là ?

    -          - Oh si ! La preuve je n’ai pas pu te résister bien longtemps. Mais je ne voulais pas avant d’être sûr que nous arrivions à aller au-delà de mon anniversaire.

    -          - C’est  de ça que tu voulais me parler hier soir ?

    -          - Oui. Mais préparons-nous et je t’expliquerai au salon. Ici je risque de perdre mes esprits, me dit-il d’un air espiègle.

     

    Je me levais et me dirigeais vers la salle de bain. La douche était chaude. Je sentis une douce caresse dans mon dos et de légers baisers. Maximilien m’avait rejoint.

     


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